
Ton travail m’inspire. Ainsi, tout en flânant, je m’attarde et m’accorde quelques instants sur le Quai. J’aime les mots, les livres qu’on feuillette, ceux qu’on ne lit pas vraiment, ceux qui nous suivent partout passant d’une table à l’autre, que l’on tient dans la main, pour le plaisir,
pour la calligraphie, le graphisme, les couleurs, parfois pour la page blanche ou noire, cela dépend. Pour le mystère de
certaines phrases, l’étonnement, le jeu, le quiproquo, pour les photographies, les dessins qui nous parlent… Ils sont deux. Deux vieux frères : Le grand dépotoir et Julien Blaine 2017, Tome 3,
aux éditions les presses du réel., coll. Al Dante.
Et comme je ne vais jamais à la pêche, je rajoute :
« NOUS LES CHAM’ÂNES, LES ÂNESSES, LES ÂNONS, LES ÂNONES, NOUS AVONS APPRIS Â
ÂNONNER ET NOUS AVONS BRAILLÉ !
NOUS AVONS APPRIS Â LIRE : Â BRAIRE.
NOUS AVONS APPRIS À JOUER DE LA MUSIQUE : Â BRAIRE.
NOUS AVONS APPRIS À PEINDRE : Â BRAIRE
ET NOUS SOMMES REVENUS Â NOTRE ETAT DE NATURE,
MALGRÉ TOI, MON CHER FRANCISCO DE GOYA. ». J. Blaine
Bises cher passeur !